Le 22 juin, une demande de constitution en société sans capital-actions est faite sous la dénomination de Regroupement des éditeurs canadiens-français (RECF).

1 janvier 1998
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Grâce aux activités de conscientisation du Regroupement, les agences gouvernementales (Conseil des arts du Canada, ministère du Patrimoine canadien et ministère des Affaires étrangères et du Commerce international) signent un Protocole d’entente sur l’édition canadienne-française dans lequel elles reconnaissent les conditions uniques de travail des éditeurs en milieu linguistique minoritaire, et s’engagent à tenir compte de ces réalités dans l’élaboration de leurs politiques et la gestion de leurs programmes.